Qu’il s’agisse, dans les premiers temps de l’informatique, de se doter d’un langage assembleur, ou, plus récemment, d'Ingénierie Dirigée par les Modèles, le but est le même : rendre le moyen informatique toujours plus près des représentations humaines. Ce mouvement est infini, car il n’est rien d’autre que le perfectionnement d’un outil, ici l’outil électronique de calcul, de stockage, et de communication, outil lui-même toujours plus performant.

1. Analyse de l'état de l’art
2. Notre vision

1. Analyse de l'état de l’art

• Les différentes générations de langages illustrent le mouvement d’abstraction ascendante.
• MDA, publié par l’OMG en 2001, peut être vu comme la dernière grande tentative de programmation via des représentation graphiques, c’est-à-dire des diagrammes offrant des vues sur des modèles.
• MDA a bénéficié d’un fort engouement pendant quelques années, mais, en raison de vices de fond, ses mises en œuvre ont toutes pâti du “paradoxe de l’intergiciel”, qui désigne la substitution des difficultés qu’un outil est censé lever, par d’autres difficultés, similaires, apportées par cet outil lui-même.

2. Notre vision

• Le principe de fond poussant l’Ingénierie Dirigée par les Modèles est par nature infini.
• La norme MDA, si elle a donné un coup d’accélérateur à l’Ingénierie Dirigée par les Modèles à une certaine époque, a également, par ses défauts intrinsèques, provoqué son enlisement.
• Certains outils, tant mathématiques qu’informatiques, permettent de lever les défauts de MDA.

Pour les raisons précédentes, nous croyons que l’Ingénierie Dirigée par les Modèles peut et doit être relancée :

• Notre solution IPM, construite sur notre produit IPM, répond à cette vision.