CGM - Cadriciel Grammatical Motorisé

Par Olivier Haas janvier 7, 2023

Spécification des applications comme des langages.
- Eu égard à la classification des langages de Chomsky, qui permet d’associer à une complexité grammaticale un modèle de calcul, le concept de grammaire est utilisé ici comme concept unificateur. Par exemple, une grammaire décrivant une procédure métier, peut inclure la grammaire décrivant un traitement complexe, et peut elle-même être intégrée dans une grammaire décrivant le poste de travail d’un acteur métier donné. De plus, une grammaire décrit aussi bien le corps d’un traitement que son interface.
Composition dynamique de poste de travail.
- Des règles permettent de composer dynamiquement les éléments de l’Interface Homme-Machine (IHM) selon des données de contexte (profil de l’utilisateur, autorisations, options choisies, règles d’UI et/ou d’UX, travail en cours, etc.).
Gestion de session métier, trans-sessions techniques.
- Ce qu’on appelle aussi “transaction longue”, c’est-à-dire une session dont le sens est fonctionnel plutôt que technique est géré à plusieurs niveaux : fonctionnalité d’application, application, poste de travail.
Gestion avancée de la persistance (objets complexes).
- Le cadriciel CGM inclut un cadriciel de persistance (ORM) de haut-niveau, construit au-dessus de Doctrine-ORM, qui permet la manipulation aisée d’objets complexes.

L’existant est modélisé comme un langage, dont on écrit la grammaire (dans un langage basé sur EBNF auquel nous avons ajouté de quoi spécifier la sémantique).
Lors de la spécification des nouvelles applications, leurs grammaires correspondantes sont écrites en parallèle.
Les postes de travail, comme toute composition d’applications, sont également formalisés comme des grammaires.

L’approche schématique et déclarative de la programmation, comme d’ailleurs l’approche progiciel, souffre d’un défaut majeur : l’impasse et/ou l’explosion des coûts lorque les besoins s'écartent de l’abstraction prévue initialement.
L’approche grammaticale se situe à un niveau intermétiaire entre la programmation schématique et déclarative, partielle ou totale, et la programmation “classique”, qui permet :
- de ne souffrir d’aucune limitation, et donc de ne jamais risquer d'être conduit dans une impasse ou à une explosion des coûts ;
- de pouvoir construire, au-dessus de cette programmation grammaticale, toutes les solutions schématisées et déclaratives que l’on pourrait trouver opportunes ; les grammaires constituant un découplage et pocurant une souplesse d’adaptation.

Les contextes pouvant être très différents, tant qualitativement que quantitativement, il nous semble plus pertinent d’aborder la question tarifaire dans le cadre d’une réponse globale à votre besoin : voici notre formulaire de contact.